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La présence de tissu adipeux sous le générateur d'impulsions, ou plus généralement sous le coil de choc
de l'électrode.
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La présence de bulles d'air à proximité de l'incision (tunnel sternal ou loge du générateur d'impulsions).
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L'insertion ou la connexion d'électrode marginale dans le bloc connecteur du générateur d'impulsions.
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La présence de particules dans l'alésage du bloc connecteur du générateur d'impulsions.
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Une morphologie plus importante.
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Un déplacement important du générateur d'impulsions ou de l'électrode (à prendre en compte en
ambulatoire). Par exemple, si le générateur d'impulsions ou l'électrode s'éloigne du fascia.
Une faible impédance d'électrode de choc peut être liée à (sans s'y limiter) :
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Une morphologie moins importante.
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Des troubles de santé du patient, par exemple, un épanchement pleural, qui réduit l'impédance de la voie
du courant de choc.
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Un déplacement important du générateur d'impulsions ou de l'électrode (à prendre en compte en
ambulatoire). Par exemple, pendant le syndrome de Twiddler, l'électrode peut être délogée et attirée dans
la loge du générateur d'impulsions, de sorte que les deux surfaces de choc sont très proches l'une de
l'autre.
En fonction de l'anatomie et de la morphologie du patient, le médecin peut choisir de positionner le dispositif
entre le muscle dentelé antérieur et le muscle grand dorsal. Le dispositif doit être fixé à la musculature pour
garantir sa position, assurer sa performance et minimiser les problèmes de cicatrisation.
Il est important de maintenir un bon contact tissulaire avec l'électrode et le générateur d'impulsions pour
optimiser la détection et l'administration du traitement. Utiliser des techniques chirurgicales standard pour
obtenir un bon contact avec les tissus. Par exemple, veiller à ce que le tissu reste humide et l'inonder de sérum
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