Tableau 23.
Mesures des sondes (suite)
Seuil de stimulation (oreillette)
Impédance de sonde (à 5,0 V et
0,5 ms, oreillette et ventricule
droit)
a.
Les amplitudes inférieures à 2 mV entraînent à terme un comptage imprécis de la fréquence et aboutissent à une incapacité à
détecter une tachyarythmie ou à une interprétation erronée d'un rythme normal considéré comme anormal.
b.
Les amplitudes d'onde R plus faibles et les durées plus longues peuvent être le signe d'un positionnement dans les tissus
ischémiques ou cicatriciels. Étant donné que la qualité du signal peut se dégrader à terme, il convient de satisfaire les critères
ci-dessus en repositionnant les sondes jusqu'à obtenir des signaux de l'amplitude la plus grande et de la durée la plus courte
possibles.
c.
Des durées supérieures à 135 ms (la période réfractaire du générateur d'impulsions) peuvent entraîner une détermination
incorrecte de la fréquence cardiaque, l'impossibilité de détecter une tachycardie ou l'interprétation erronée d'un rythme
normal comme étant anormal.
d.
Cette mesure ne tient pas compte du courant de lésions.
e.
La limite d'impédance basse est programmable entre 200 et 500 Ω.
f.
La limite d'Impédance élevée est programmable entre 2 000 Ω et soit 2 500 Ω, soit 3 000 Ω suivant le modèle du générateur
d'impulsions.
En cas de problème d'intégrité de la sonde, des tests de dépannage standard des sondes doivent être utilisés
pour évaluer l'intégrité du système de sondes. Ces tests de dépannage incluent, sans s'y limiter, les tests
suivants :
•
Analyse des électrogrammes avec manipulation de la loge
Sonde de stimulation/détection
(aiguë)
< 1,5 V endocardique
> limite basse programmée de
l'impédance (200–500 Ω)
< limite haute programmée de
l'impédance de choc
Sonde de stimulation/détection
(chronique)
< 3,0 V endocardique
> limite basse programmée de
e
l'impédance
< limite haute programmée de
f
l'impédance de choc
e
f
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