Tableau 13.
Mesures des sondes (suite)
Seuil entraînement
(oreillette)
Impédance de sonde (à
5,0 V et 0,5 ms,
e
oreillette)
Impédance de sonde (à
5,0 V et 0,5 ms,
e
ventricule droite)
a.
Les amplitudes inférieures à 2 mV entraînent à terme un comptage imprécis de la fréquence et aboutissent à une incapacité à
détecter une tachyarythmie ou à une interprétation erronée d'un rythme normal considéré comme anormal.
b.
Les amplitudes d'onde R plus faibles et les durées plus longues peuvent être le signe d'un positionnement dans les tissus
ischémiques ou cicatriciels. Étant donné que la qualité du signal peut se dégrader à terme, il convient de satisfaire les critères
ci-dessus en repositionnant les sondes jusqu'à obtenir des signaux de l'amplitude la plus grande et de la durée la plus courte
possibles.
c.
Des durées supérieures à 135 ms (la période réfractaire du générateur d'impulsions) peuvent entraîner une détermination
incorrecte de la fréquence cardiaque, l'impossibilité de détecter une tachycardie ou l'interprétation erronée d'un rythme
normal comme étant anormal.
d.
Cette mesure ne tient pas compte du courant de lésions.
e.
La modification de la surface de l'électrode de défibrillation, comme dans le cas du passage d'une configuration triad à une
Sonde de stimulation/
détection (aiguë)
< 1,5 V endocardique
> limite d'Impédance
f
faible programmée
< limite d'Impédance
g
élevée programmée
> limite d'Impédance
f
faible programmée
< limite d'Impédance
g
élevée programmée
Sonde de stimulation/
détection (chronique)
< 3,0 V endocardique
> limite d'Impédance
f
faible programmée
< limite d'Impédance
g
élevée programmée
> limite d'Impédance
f
faible programmée
< limite d'Impédance
g
élevée programmée
Sonde de choc (aiguë
et chronique)
> 20 Ω
< limite d'Impédance
élevée programmée
(125 à 200 Ω)
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