autre KoreSound, nous utiliserons dans ce manuel le terme d' "emboîte-
ment".
L'emboîtement permet deux choses : à un niveau basique, il donne la
possibilité de combiner aisément non seulement des SingleSounds mais
aussi des MultiSounds dans un nouveau MultiSound. Ceci constitue en
quelque sorte une passerelle entre les deux types de KoreSounds, puisque
vous n'avez plus alors à vous préoccuper de savoir si vous travaillez sur
un SingleSound ou sur un MultiSound (à moins de vouloir en modifier la
structure interne). À un niveau plus avancé, vous pouvez créer n'importe
quel flux du signal imaginable : même les boucles de réinjection sont
possibles.
Avec ce concept d'emboîtement en tête, il devient clair que le niveau
supérieur de KORE 2 – la Performance, remplie de KoreSounds grâce au
b
– n'est finalement pas très différente d'un MultiSound. Vous pouvez
RowseR
par exemple enregistrer la Performance entière comme MultiSound (via le
menu f
) puis la charger comme partie d'une autre Performance. Le
ichieR
seule différence entre les Performances et les MultiSounds réside dans
la présence ou non d'informations non structurelles : une Performance
enregistre la valeur de BPM de l'horloge globale, par exemple, tandis que
le MultiSound adapte son tempo au tempo global. Encore une fois, les
blocs de construction du moteur audio de KORE 2 sont (en remontant
dans la hiérarchie) :
►
le SingleSound
►
le MultiSound
►
la Performance
KORE 2 – 28