Création De Plusieurs Dispositifs De Racks Logiques; Image Des Entrées Et Sorties Du Scrutateur; Généralités Sur Les Fichiers M - Rockwell Automation Allen-Bradley 1747-SN Manuel D'utilisation

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Compréhension des
fichiers M
Création de plusieurs dispositifs de racks logiques
Les transferts RIO TOR se font sur la base d'un dispositif logique, non
sur la base d'un adaptateur. Un dispositif logique est une partie
quelconque d'un rack logique allouée à un seul adaptateur.
Lorsque l'image du scrutateur allouée à un adaptateur couvre plus d'un
dispositif logique, le scrutateur voit le dispositif physique unique comme
des dispositifs logiques multiples sur la liaison RIO. Le scrutateur
communique indépendamment avec chaque dispositif logique, même si
les dispositifs logiques sont tous alloués à un seul adaptateur. Si l'image
d'un dispositif logique couvre plus d'un dispositif logique, ce qui suit est
vrai :
Le scrutateur ne rafraîchit pas toute l'image de l'adaptateur en même
temps. Le nombre de dispositifs logiques détermine le nomre de
transferts RIO TOR nécessaires pour rafraîchir l'image adaptateur
tout entière.
L'adaptateur peut recevoir plusieurs demandes de communications
pour chaque dispositif logique. Dans ce cas, l'adaptateur décide à
quelle demande répondre.
Dans cet exemple,
l'adaptateur est configuré pour
commencer au rack logique 0,
groupe logique 0, et utilise 14
mots de l'image des E/S.
Notez que deux transferts RIO
TOR sont nécessaires pour
que le scrutateur rafraîchisse
l'image adaptateur contenant
deux dispositifs logiques.
Généralités sur les fichiers M
Le scrutateur fournit le contrôle et les informations d'état des dispositifs
RIO par l'intermédiaire des fichiers M0 et M1. Le fichier M0 est un
fichier de contrôle. Le fichier M1 est un fichier d'état.
Le processeur SLC ne rafraîchit pas automatiquement les données des
fichiers M pendant la fin de la scrutation du programme comme il le fait
pour les scrutations d'E/S. A la place, les valeurs des fichiers M agissent
comme des interruptions et sont immédiatement lues ou sont écrites dès
l'exécution de l'instruction de la logique à relais dans laquelle ils sont
utilisés. Quand des données des fichiers M (bits et mots) sont adressées
dans le programme à relais, le processeur arrête de scruter le programme
pour lire ou écrire les données des fichiers M dans/depuis le module
scrutateur. Les bits/mots des fichiers M, dans le programme à relais,
auront donc un impact sur le temps de scrutation à relais. Si le temps de
scrutation est crucial, il est préférable de mettre à 1 les bits des fichiers
binaires et de les copier en une seule fois dans le fichier M0, ou de copier
une partie du fichier M1 dans un fichier binaire puis d'adresser le fichier
binaire dans le programme. Référez-vous à l'exemple à relais qui suit.
Pour plus d'informations sur les fichiers M, consultez l'annexe B. Vous
trouverez des informations sur leurs opérations de blocs-transferts au
chapitre 5, Blocs-transferts RIO.
Chapitre 4
Configuration et programmation
Image des entrées et sorties du scrutateur
8
15
Numéros des bits (décimal)
Groupe 0
Groupe 1
Groupe 2
Rack
Groupe 3
logique 0
Groupe 4
Groupe 5
Groupe 6
Groupe 7
Groupe 0
Groupe 1
Groupe 2
Rack
Groupe 3
logique 1
Groupe 4
Groupe 5
Groupe 6
Groupe 7
7
0
ispositif
logique
Image
adaptateur
ispositif
logique
4-11

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