- Etant donné que nous placerons notre appareillage sur la tige, il faut bien
s'assurer que le capteur piezzorésistif que nous choisirons peut travailler en traction, et pas
seulement en compression.
- Pour le reste, en ce qui concerne les contraintes de dimensions, de masse,
nous n'avons pas d'exigence particulière, à l'image de ce que nous souhaitions pour les
jauges.
Voir annexes pour les modèles sélectionnés
Les informations données par les constructeurs, disponibles dans les catalogues
(CETIM), sont bien souvent incomplètes: aucune indication concernant l'aptitude à travailler
en traction, notamment.
Nous avons choisi le modèle ELH-15 de ENTRAN, car son prix est dans la fourchette
que nous nous sommes fixée ; son encombrement est très réduit ; il offre de bonnes
performances en terme de précision , et par dessus tout, il est explicitement conçu pour
travailler en traction.
d- Contraintes et limites
L'étude des jauges disponibles sur le marché nous a montré que l'idée de placer une
jauge à même la peau n'est pas réalisable, compte tenu de nos exigences.
Le choix se porte donc sur une mesure au niveau de la tige, soit avec une jauge, soit
avec un capteur piezzorésistif. Pour ce qui est de départager ces deux méthodes, à
performance égale (au niveau de la précision) l'argument du prix nous semble décisif. Ainsi
nous optons pour la jauge.
Pour les jauges, étant donné que la tige est en acier, son module d'Young E est très élevé.
Par conséquent, pour une contrainte donnée, le déplacement linéaire sera extrêmement faible.
Les jauges sélectionnées doivent percevoir les élongations de la tige.
SY21 - « Grandeurs physiques et leurs mesures » - UTC - 19/11/99 –
apourche@etu.utc.fr
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giletvin@etu.utc.fr
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