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Page 5 de l'homologation structurelle générale N°Z-65.23-309 du 9 juillet 2001
- dans la mesure où cela est possible sur le plan technique et pour prouver que le défaut a
été éliminé – le contrôle en question doit être renouvelé sans délai.
2.3.3. Premier contrôle de l'indicateur de fuites par un bureau de vérification compétent en la
matière.
Dans le cadre du premier contrôle il faut effectuer les contrôles de fonctionnement cités
dans les "Principes d'homologation des appareils indicateurs de fuites pour récipients". Si
les preuves provenant d'échantillons de la production courante et servant de base à
l'homologation structurelle générale ont été fournies, ces contrôles remplacent le premier
contrôle.
3.
Dispositions concernant le projet
3.1
Un indicateur de fuites de type "DL-4000/." peut être utilisé pour des récipients
conformément au § 3.1 de la description technique
générale.
3.2
Lors du choix des appareils indicateurs de fuites, il faut veiller à ce que l'indicateur de
fuites et les chambres de surveillance des récipients à double paroi en acier ou en matière
plastique ainsi que les récipients à simple paroi en acier ou en matière plastique avec
revêtement ou enveloppe de protection contre les fuites résistants à la pression soient
suffisamment résistants contre les liquides à stocker.
4.
Dispositions pour la réalisation
4.1
(1) L'indicateur de fuites doit être installé conformément au § 5 de la description technique
et mis en service conformément à son § 6. Seules les entreprises spécialisées au sens du
§ 19 l de la loi sur l'approvisionnement en eau doivent être chargées des activités
d'installation, de maintenance, de réparation et de nettoyage de cet indicateur de fuites.
(2) Les activités citées au § (1) ne doivent pas être effectuées par les entreprises
spécialisées si elles sont dispensées de l'obligation d'entreprise spécialisée par les
règlements nationaux ou lorsque le fabricant de l'objet de l'homologation effectue les
activités avec un personnel compétent. Les exigences en matière d'hygiène et de sécurité
du travail restent inchangées.
4.2
Le niveau éventuel de la nappe phréatique et de l'eau de retenue ne doit pas dépasser le
fond du récipient de plus de 3,00 m pour le type "DL-4000/500" ou bien 3,80 m pour le
type "DL-4000/600".
4.3
La chambre de surveillance ne doit contenir aucun liquide indicateur de fuites. L'indicateur
de fuites peut être utilisé sur des récipients destinés au stockage de liquides pouvant
présenter un risque pour l'eau, avec un point d'inflammation < 55°C, mais il ne doit
toutefois pas être installé et mis en service dans une zone présentant des risques
d'explosion.
4.4
L'indicateur de fuites ne doit pas être utilisé s'il se produit une perméation dans la
chambre de surveillance à cause du produit stocké et de la composition du matériau de la
paroi interne du récipient, pouvant conduire, du fait du fonctionnement, à la formation
d'une atmosphère explosive dans la chambre de surveillance.
4.5
L'indicateur de fuites DL-4000/500 ne convient que pour les récipients enterrés. Grâce au
dispositif de distribution, plusieurs récipients enterrés peuvent être raccordés ensemble,
sans pour cela dépasser un volume maximum de chambre de surveillance de 4 m³
4.6
L'indicateur de fuites doit être installé dans un local sec ou à l'air libre dans un boîtier de
protection adapté. S'il n'est pas actionné dans un local sec, il doit être placé dans un
boîtier de manœuvre ou une armoire de commande correspondant au moins à l'indice de
protection IP 54. Le boîtier de protection doit être installé ou équipé avec un chauffage
piloté par thermostat, de manière à empêcher un refroidissement de l'indicateur de fuites à
une température inférieure à – 5°C.
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Description technique "Indicateur de fuites DL-4000" du demandeur en date du 15 mai 2001, contrôlée
par le TÜV (contrôle technique) Nord e.V.
5
avec homologation structurelle
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