6 Données spécifiques aux appareils
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Pour qu'une communication avec le JUMO IMAGO 500 (appareil) ait lieu, il
faut lui envoyer 4 octets d'information et max. 4 octets de données utiles. La
communication à l'aide des données acycliques repose pour l'essentiel sur la
communication Modbus (déjà connue), c'est-à-dire que les mécanismes de
communication Modbus (comme fonction (CMD) et adresse) sont utilisés ici.
Alors que les données cycliques sont toujours transmises entre l'API et
l'appareil, la transmission acyclique n'a lieu que lorsque c'est nécessaire,
c'est-à-dire qu'il est même possible d'effectuer des modifications temporaires
sur l'appareil (commande sur l'appareil).
La transmission acyclique présente un avantage : il est possible de transgres-
ser les limites définies par l'API dans le fichier GSD, comme max. 128 octets
de données d'entrée/sortie sur la représentation graphique du process ou
max. 31 enregistrements de module (nombre de paramètres cycliques). Il est
possible de transmettre et de traiter l'un après l'autre un nombre quelconque
de paramètres.
La transmission acyclique présente un inconvénient : il faut intégrer à l'API une
fonction d'interface supplémentaire qui assure la procédure de transmission
décrite ci-dessous.
Sur le CD-ROM fourni avec l'interface PROFIBUS, vous trouverez un pro-
gramme de démonstration d'API (IMAGO500.ZIP) pour le SIMATIC S7 utilisé
avec une CPU 315-2 DP très répandue. JUMO ne propose un programme de
démonstration que pour le SIMATIC S7. JUMO ne garantit pas que ce pro-
gramme (qui doit faciliter la première mise en service d'une transmission
acyclique) fonctionne correctement sur toutes les applications.
Choix de la transmission acyclique dans le générateur GSD :