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3.5
UNITE D'AUTO-DIAGNOSTICS
Le MLJ, en plus de faire fonctionner les unités décrites de synchronisme et de sous-tension, réalise
simultanément des vérifications continues pour contrôler l'intégrité de leurs composants.
Les éléments suivants sont contrôlés, autant lors du démarrage que pendant le fonctionnement normal,
d'une manière qui n'interfère pas sur le fonctionnement normal :
• Mémoire de programme (ROM).
• Mémoire de travail (RAM).
• Mémoire non volatile des réglages (EEPROM).
• Validité des réglages.
• Circuits analogiques de mesure.
En plus, le programme d'auto-diagnostic contrôle la correction des séquences du programme grâce à un
mécanisme de surveillance (watch-dog), réalisé au moyen d'un système d'enchaînement de travaux qui
fournit un sécurité élevée de fonctionnement.
Pendant le démarrage, un contrôle en profondeur est réalisé au cours duquel apparaît le message "tSt" sur
l'écran du relais.
Cette unité indique, à travers des codes sur l'écran, les éventuels défauts détectés. Elle génère aussi un
signal d'Alarme, que l'on peut obtenir autant sur le contact consacré à l'alarme que sur les auxiliaires si la
configuration est réalisée ainsi.
La détection d'un défaut dans l'équipement suppose la désactivation des sorties, afin d'éviter une opération
incorrecte de celui-ci.
Les codes des défauts sont :
0.0.
Il n'y a pas de défauts.
8.0.
Défaut du ROM. La mémoire du programme a raté.
8.1.
Défaut d'écriture dans EEPROM.
8.2.
Défaut du RAM de programme.
0.1.
Défaut des réglages. Les réglages stockés sont incorrects. Cette erreur est également
fournie lorsque la mémoire EEPROM est nouvelle (dans ce cas les réglages par défaut
sont stockés).
0.4.
Erreur de mesure (défaut dans les circuits analogiques).
Si les défauts sont multiples, seul celui de majeure priorité sera représenté. La liste précédente est ordonnée
selon un ordre décroissant d'importance.
Relais de vérification de Synchronisme
GEK – 106280
3.5.1
MODE D'OPERATION
17
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