heures cumulées d'utilisation du téléphone mobile. Pour la plupart des agents
cancérigènes, une exposition accrue entraîne un risque accru. Il est prévu que
la précision et la répétabilité de ces résultats seront abordées au cours d'une
étude permanente des cancers du cerveau effectuée sous le contrôle du
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National Cancer Institute.
2. Les chercheurs ont mené une vaste série de tests de laboratoire pour évaluer
les effets de l'exposition à l'énergie RF des téléphones mobiles sur le matériel
génétique. On a ainsi procédé à des tests sur plusieurs types d'anomalies, y
compris les mutations, les aberrations chromosomiques, les bris des brins
d'ADN et les changements structuraux du matériel génétique des cellules
sanguines lymphocytes. Aucun des tests pratiqués n'a démontré les effets de
l'énergie RF, à l'exception du test du micronoyau, où l'on a détecté des effets
structuraux sur le matériel génétique. Au cours de cet essai, les cellules ont
subi un changement sous l'effet simulé de l'énergie RF provenant d'un
téléphone cellulaire, mais seulement au bout de 24 heures d'exposition. Il est
possible que le changement cellulaire des cellules de test entraîné après une
radiation d'une telle durée soit imputable à la chaleur. Puisqu'il a été démontré
que ce test était sensible à la chaleur, la chaleur seule pourrait avoir produit
les anomalies. Les données actuelles de la littérature sur la réponse du test du
micronoyau en relation avec l'énergie RF sont contradictoires. Conclusion : il
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faut poursuivre les recherches.
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