S&P PGH Notice page 7

Table des Matières

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• la taille et la forme du terrain disponible,
• les éléments de structure existants et la position du bâtiment à construire ou déjà construit,
• la végétation et notamment les arbres,
• les réseaux souterrains existants et à construire dans le futur (évacuations, etc.)
• la localisation de futurs bassin ou piscine,
• la présence de fosses septiques, plateaux bactériens ou de puits,
• la présence de nappe phréatique (si connue).
Le cheminement du capteur géothermique doit se faire en fonction :
• des obstacles (autres réseaux enterrés, puits, etc.),
• de la localisation des fondations du bâtiment,
• de la position du local où se trouve le récupérateur,
• des préférences du client,
• de l'accessibilité aux engins de terrassement,
• des évolutions programmées.
Il convient de limiter, dans la mesure du possible, au maximum les coudes afin de réduire les pertes de
charge hydrauliques.
Si une partie du capteur n'est pas enterré et que la zone de passage n'est pas une zone tempérée, il
est indispensable de prévoir le calorifuge de cette partie du capteur géothermique pour éviter tout
risque de gel.
Dans le cas de la présence d'une zone non soumise à la pénétration des eaux de pluie (allée
goudronnée par exemple), celle-ci ne doit pas excéder 10% de la surface de capteur
géothermique pour éviter des pertes de rendement.
Cette situation est exceptionnelle et il sera préféré une surface laissant passer l'eau.
Le capteur peut être installé dans un espace ouvert (décapé sur toute sa surface) puis recouvert ou
dans un système de tranchée qui seront remblayée, selon la taille de la propriété. Le tube doit être posé
horizontalement dans le sol, la profondeur parfaite est à déterminer en fonction des contraintes
géographique (normalement de 1,5 à 2.5 m mais pas plus de 5 m). La distance entre les tuyaux doit
être de 0,7 m minimum. Le point le plus élevé du circuit est le purgeur de l'unité de sécurité de
l'échangeur.

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