Information générale – Suite
CE PRODUIT NE CONTIENT AUCUNE PIÈCE REMPLAÇABLE PAR L'UTILISATEUR OU RÉPARABLE SUR
PLACE. LE DÉTECTEUR DE CO DOIT ÊTRE RETOURNÉ AU FABRICANT POUR UNE RÉPARATION OU
UNE VÉRIFICATION DE SON FONCTIONNEMENT.
CE PRODUIT N'EST PAS DESTINÉ À ÊTRE UTILISÉ DANS DES LIEUX EXTÉRIEURS ORDINAIRES DE
RÉSIDENCES FAMILIALES. SA CONCEPTION N'EST PAS CONFORME AUX NORMES DE L'OSHA
(SERVICE DE LA SÉCURITÉ ET DE L'HYGIÈNE DU TRAVAIL), COMMERCIALES OU INDUSTRIELLES.
Monoxyde de carbone (CO) – Le « tueur silencieux »
Sous-produit de la combustion, le monoxyde de carbone est un gaz invisible, insipide et inodore.
Tous les moteurs, et les appareils de chauffage et de cuisson en produisent. Dans les véhicules
récréatifs, les sources de CO les plus courantes sont les moteurs à essence, les génératrices
d'appoint, et les appareils de chauffage et de cuisson au propane. Tous produisant d'importantes
quantités de CO, ils ne devraient jamais fonctionner pendant le sommeil des occupants. Une
légère accumulation de monoxyde de carbone dans le corps humain sur plusieurs heures
provoque des maux de tête, la nausée et d'autres symptômes semblables à ceux d'une
intoxication alimentaire, du mal des transports ou de la grippe. Des concentrations élevées
peuvent être fatales en quelques minutes. Les symptômes suivants sont liés à une INTOXICATION
AU MONOXYDE DE CARBONE et TOUS les passagers doivent les connaître :
Exposition légère : légers maux de tête, nausées, vomissements, fatigue (souvent décrits
comme les symptômes de la « grippe »).
Exposition modérée : céphalées pulsatiles intenses, somnolence, confusion, fréquence
cardiaque rapide.
Exposition extrême : perte de connaissance, convulsions, défaillance cardiorespiratoire,
mort.
De nombreux cas d'INTOXICATION AU MONOXYDE DE CARBONE déclarés indiquent que
si les victimes sont conscientes de leurs malaises, elles sont si désorientées qu'elles sont
incapables de réagir et de quitter les lieux ou d'appeler à l'aide. Par ailleurs, les jeunes
enfants et les animaux domestiques sont souvent les premiers touchés. (VOIR LE
TABLEAU 1)
MISE EN GARDE :
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Document n°18156, D, 02/28/2018