drone et un aéronef. Dans tous les cas, je n'entreprends pas un vol ou j'interromps
un vol en cours, si un aéronef se
trouve à proximité.
3.
Je ne perds jamais mon drone de vue et je ne l'utilise pas la nuit
Je conserve mon drone à une distance telle qu'il reste facilement visible à l'oeil nu et
je le garde à tout instant dans mon
champ de vision. Les vols en immersion (FPV) et l'utilisation de drones suiveurs sont
toutefois possibles sous certaines
conditions nécessitant notamment la présence d'une seconde personne pour assurer
la sécurité.
Par ailleurs, afin d'assurer la sécurité des aéronefs volant à basse altitude, comme
les hélicoptères réalisant des opérations de secours, la réglementation interdit
l'utilisation de drones la nuit, même s'ils sont équipés de dispositifs lumineux.
4.
Je ne fais pas voler mon drone au-dessus de l'espace public en
agglomération
En agglomération, le survol de mon espace privé avec un drone de petite taille et
sans présence de public est possible
sous réserve de respecter une vitesse et une hauteur maximale adaptées à
l'environnement immédiat (bâtiments,
arbres, ...) et permettant de limiter les risques en cas de perte de contrôle. Je n'utilise
en aucun cas mon drone au-dessus de l'espace public.
5.
Je n'utilise pas mon drone à proximité des aérodromes
Je n'utilise pas mon drone à proximité de tout terrain d'aviation pouvant accueillir
avions, hélicoptères, planeurs, ULM,
etc. Des distances minimales d'éloignement sont à respecter et peuvent atteindre 10
km pour les aérodromes les plus
importants.
6.
Je ne survole pas de sites sensibles
Certains sites sensibles ou protégés ainsi que leurs abords sont interdits de survol. Il
s'agit par exemple des centrales
nucléaires, de terrains militaires, de monuments historiques ou encore de réserves
naturelles et parcs nationaux. Je me
renseigne sur l'existence de tels sites avant d'entreprendre un vol.
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