Pour sa part, le signal de contrôle dans le mode PI peut s'exprimer de deux formes:
PI continu: la variable de contrôle sera une valeur de pourcentage et
l'indiquera à la vanne de la grille du système de climatisation comment doit-
elle rester ouverte à chaque moment. Par exemple, une valeur de 50%
l'indiquera qu'elle doit rester ouverte pendant la moitié de la période.
Logiquement, cette méthode s'applique seulement avec les systèmes
avancés, dont les vannes permettent des positions intermédiaires.
PWM (modulation de largeur d'impulsions): la variable de contrôle sera de
type binaire, avec l'objet de contrôler les vannes de type "tout/rien", c'est à
dire, qu'elles ne permettent pas des positions intermédiaires. Ainsi, par
exemple, il pourra s'émuler l'ouverture partielle de la vanne (par exemple à
50%) simplement en la tenant ouverte (complètement) ou fermée
(complètement aussi) de forme successive durant de brèves portions de
temps.
Exemple: PI avec PWM.
Supposer qu'un système de contrôle thermostatique du "PI continu" a déterminé une
variable de contrôle de 25% ce qui signifie une ouverture partielle de la vanne,
concrètement à 25%. Dans tel cas, la variable PWM équivalente consistera en un
signal qui durant un 25% du cycle de PI configuré soit au niveau haut (valeur "1") et
les 75% du temps à bas niveau (valeur "0") faisant que la vanne se trouve totalement
ouverte durant les 25% du temps et totalement fermée pendant les autres 75%.
d'autre part, dans des situations de saturation du signal de contrôle ou celle-ci atteint la
valeur 100% à être les températures de référence et de consigne très différentes, il
s'accumulera une notable erreur intégrale, ce qui à atteindre la température de
consigne, il se continuera à envoyer un signal positif, compte tenu du poids que tient
dans cet algorithme l'histoire du système. Cela provoque un apport excessif de chaud
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|───── Temps de cycle PI ─────|
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Support technique:
Thermostat 'Building'
Valeur moyenne
(25%)
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