Expériences
Déplacer le stylet M en divers points de l'armature N et mesurer le potentiel V
–
Conclure.
–
L'armature N constitue une ligne équipotentielle (en fait une surface équipotentielle) : V
2.4.2. Cas général
Déplacer le stylet M dans une direction perpendiculaire aux armatures afi n de lire 2,0 V
–
(par exemple) sur le voltmètre. Repérer ce point sur la feuille de pointés.
Déplacer ensuite le stylet latéralement et repérer les points M qui ont le même potentiel.
–
Veiller à espacer convenablement les pointés.
Marquer ces points sur la feuille de pointé à l'identique du pointage sur la cuve.
–
Tracer la ligne équipotentielle : V
–
Répéter cette opération pour d'autres équipotentielles convenablement espacées.
–
Remarque pratique :
Afi n de déterminer le plus précisément la position et le potentiel du point M, veiller à maintenir
le stylet perpendiculairement à la surface de l'eau ; cette opération est d'autant plus facilitée
que le niveau de l'eau est très faible.
2.4.3. Variantes
En répartissant le travail entre les divers groupes de T.P. :
Combiner les deux possibilités : choix d'une tension U
–
deux armatures, différentes.
Comparer les résultats.
–
Conclure.
–
Dans l'espace « central » situé entre les deux armatures, on vérifi e que :
■
À distance PN constante entre les armatures, les équipotentielles sont parallèles aux
–
électrodes et équidistantes, d'autant plus resserrées que la tension U
8
= 2,0 V (par exemple).
M
correspondant.
N
et d'une distance PN entre les
PN
est grande.
PN
= 0,0 V.
N
33607-4