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Utilisation de la stroboscopie
Expérimentalement, un phénomène dépendant du temps peut être analysé de différentes façons :
soit par observation visuelle directe, soit à partir d'un enregistrement ou soit à l'aide d'un
échantillonnage. La stroboscopie appartient à ce dernier cas.
Considérons que le signal étudié est sinusoïdal de période T. Faire une observation
stroboscopique revient à superposer au signal étudié une fonction périodique de période T
Il est bien évident que suivant la relation entre T et T
Si on considère que le stroboscope a une période T
que le signal a une période T (donc une fréquence F = 1/T), alors on distinguera deux cas :
l'immobilité apparente lorsque F = k.T
–
le mouvement apparent lorsque F
–
De manière générale on s'efforcera à obtenir l'immobilité apparente pour déterminer la
fréquence du mouvement.
Expérience
Détermination de la vitesse de rotation du disque stroboscopique
En partant de la valeur maximale de la fréquence des éclairs émis par le stroboscope,
faites diminuer cette fréquence progressivement. On remarque alors qu'il y a plusieurs
confi gurations apparemment immobiles (Fig. 1).
En diminuant encore la fréquence des éclairs, on atteindra une fréquence qui correspond à
l'immobilité apparente et pour laquelle on obtiendra ce type de confi guration (Fig. 2).
0
1
éclair
er
Fig. 2 : immobilité apparente
les observations seront différentes.
0
(donc une fréquence F
0
où k est un entier
0
ε
ε
=(1 +
).F où
<< 1.
Fig. 1
2
éclair
ème
= 1/T
0
3
éclair
ème
.
0
) et
0
3
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