Goldanalytix GoldScreenPen Mode D'emploi page 8

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Le terme or blanc décrit cet alliage de bijoux duquel on retire la couleur dorée avec des additifs de chrome,
du platine ou du palladium pour ainsi avoir une couleur argentée.
Les composants principaux de l'or jaune ne consistent, en revanche, qu'en argent, cuivre et or.
L'or rouge et l'or rose ont leurs couleurs du cuivre, qui est le seul métal à être ajouté aux alliages d'or. Plus
grand le contenu en cuivre de l'alliage, plus rougeâtre sera l'or. On peut voir que, à cause des très différentes
compositions des bijoux, la possibilité d'un classement clair est limitée. Mais il faut aussi tenir compte que
la majorité d'alliages des bijoux se trouvent dans une plage de <12MS/m.
L'appareil montre à droite en haut de l'écran (cf. illustration 1.
) « métal étranger » en cas de valeurs de
conductance qui ne se trouvent ni dans la plage de l'or (ou ses alliages), ni dans celle de l'argent pur. On a
renoncé à un affichage d'un alliage correspondant d'or dépendant de la conductance parce que l'affichage
pourrait être compris de travers à cause des ambigüités mentionnées.
On ne peut pas conclure directement le contenu en métal précieux à partir de la conductance électrique
sortie. Surtout dans les cas d'alliages d'or, mais aussi en cas d'or pur, il y a de nombreux alliages de métaux
étrangers qui montrent une conductance similaire à celle de l'or. L'alliage « or nordique » des pièces de
monnaie des centimes d'euros 10 et 20 montre, par exemple, presque la même conductance que l'or
Krügerrand (or rouge 917). Du cuivre électrolytique pas cher, qui, comparé au cuivre pur, perd une quantité
signifiante de conductance, peut être dans la plage d'or pur en ce qui concerne la conductivité. L'essentiel
pour que l'essai réussisse, c'est une détermination supplémentaire de la densité de l'objet à tester en
mesurant sa géométrie et son poids ou en se servant du principe d'Archimède qui se voit employé par la
Goldanalytix Balance de densité. Les densités de ces (alliages de) métaux étrangers diffèrent toujours de
façon signifiante de la densité très élevée de l'or. Les falsifications qui consistent en tungstène montrent des
densités très similaires a celle de l'or, mais c'est la conductance qui diffère de façon signifiante de celle du
métal précieux.
Une exception de cela est la plage de valeurs des ducats autrichiens. Dans ce cas-là, l'écran montrera
« métal étranger », car la conductance se trouve dans la plage des falsifications communes en tungstène.
Si le métal testé est ferromagnétique, c'est-à-dire du fer, de l'acier magnétisable, nickel ou cobalt, l'écran
montrera « métal ferromagnétique » (cf. illustration 1.
). La conductance électrique ne peut pas être
affichée dans ce cas-là.
On emploie souvent des couches de nickel très fines dans une plage d'un chiffre de µm pour appliquer des
couches d'or sur des objets de base métallique, mais celles-ci ne provoquent pas toujours l'affichage de
ferromagnétisme.
Les aciers inoxydables non-magnétiques seront affichés dans une plage très basse de <2 MS/m en ce qui
concerne leur conductance.

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